1 Avent – A (Matthieu 24,37-44). Méditation
Il n’est pas toujours facile de nommer ce malaise profond et persistant que nous pouvons ressentir à un moment donné de notre vie.
Il n’est pas toujours facile de nommer ce malaise profond et persistant que nous pouvons ressentir à un moment donné de notre vie.
A quelques jours de la fête de la Toussaint et de notre intercession pour nos sœurs et frères défunts, la liturgie nous invite à méditer sur le mystère central de notre foi : la résurrection. Les textes nous invitent à prendre conscience que la résurrection n’est pas seulement un phénomène d’après Pâques.
La belle figure de Zachée et sa rencontre bouleversante avec Jésus sauveur nous est proposée aujourd’hui pour notre méditation. Qui est Zachée ? Qui représente-t-il dans ce récit ?
Les erreurs du passé n’ont pas suffi pour qu’on arrête de détruire les autres et d’infliger des blessures à nos frères et à notre sœur terre : nous l’avons vu dans le visage défiguré de l’Amazonie. La religion du moi continue, hypocrite avec ses rites et ses “prières” – bien des gens sont catholiques, se déclarent catholiques mais ont oublié d’être chrétiens et humains -, elle oublie le vrai culte à Dieu qui passe toujours par l’amour du prochain. Même des chrétiens qui prient et vont à la messe le dimanche sont adeptes de cette religion du moi.