Lettre du Supérieur Général pour le temps de l’Avent. A tous les membres de la Congrégation de la Mission

Dans ma première lettre pour la fête de saint Vincent, il y a deux ans, je vous ai écrit à propos de saint Vincent de Paul, mystique de la Charité. Lorsque nous réfléchissons sur saint Vincent en tant que mystique de la Charité et que nous essayons de suivre son exemple à cet égard, nous devons nous rappeler qu’il n’était pas un mystique au sens courant du terme, tel que l’Eglise le décrit habituellement.

Vers une culture ‘vocationnelle’ : Réflexion sur la pastorale des vocations à l’ère du monde numérique et sur l’état actuel de la Congrégation de la Mission

Quand nous parlons de «culture numérique», nous ne parlons pas de Culture au sens de Hannah Arendt selon lequel «la crise de la culture s’explique tout d’abord par la massification ». Nous sommes dans un tout autre paradigme. Hannah Arendt montre que la société de consommation de masse rompt avec la tradition culturelle parce qu’elle traite tout objet comme un produit consommable.

Avec les Artisans de la Fête

Aumônier, « passeur d’espérance », mon rôle est de faire le lien entre ce monde des forains et l’Église. Les Artisans de la Fête ont leur vie marquée par l’itinérance. Ils ont, pour beaucoup la foi chrétienne chevillée au cœur et transmise de générations en générations. Si vous entrez dans une caravane, vous y trouverez la croix du Christ et une image de la « Sainte », c’est-à-dire la Vierge Marie.

Les initiatives de la Famille Vincentienne en France

« Les pauvres sont nos seigneurs et nos maitres » disait Saint Vincent. Aujourd’hui, les vincentiens creent des espaces de partage où les plus fragiles retrouvent le goût d’être debout et de partager la confiance par les échanges fraternels vécus dans les diverses structures. Les divers espaces ouvert essaient de répondre à leurs appels.

Aller au contenu principal