Dimanche de la Parole de Dieu. 24 janvier 2021. Homélie. Chapelle saint Vincent de Paul – Paris

La crèche n’est plus sous nos yeux mais les Ecritures sont là, ouvertes à notre méditation ; elles sont cette présence du Christ qui nous parle aujourd’hui. Maintenir les Ecritures fermées, c’est se refuser d’écouter le Christ qui nous adresse une Parole, c’est renoncer à un dialogue. C’est se fermer soi-même à l’autre ! La Parole est le lieu où nous devons apprendre à demeurer.

Le cas de l’art public soutenu par la communauté en tant que ministère vincentien

Toute la lecture que j’ai faite de Saint-Vincent, me fait penser qu’en son temps, la fabrication de l’art visuel n’était pas quelque chose pour un membre de la Congrégation. La vanité et la commercialisation qu’il constatait dans l’art à son époque devait le déranger. Que penserait-il de mes efforts en 2021 ?

MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS À L’OCCASION DE LA XXIXe JOURNÉE MONDIALE DU MALADE 2021. Vous n’avez qu’un seul maître et vous êtes tous frères (Mt 23, 8). La relation de confiance à la base du soin des malades

Devant les besoins de notre frère et de notre sœur, Jésus offre un modèle de comportement tout à fait opposé à l’hypocrisie. Il propose de s’arrêter, d’écouter, d’établir une relation directe et personnelle avec l’autre, de ressentir empathie et émotion pour lui ou pour elle, de se laisser toucher par sa souffrance jusqu’à s’en charger par le service (cf. Lc 10, 30-35).

Homélie du troisième dimanche de l’Avent 2020. Chapelle Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse – Paris

On entend dire partout : « on a sauvé Noël », « on a réussi à sauver Noël ». Les commerces sont accessibles, on peut acheter des cadeaux, les commerçants peuvent respirer un coup… Nous partageons tous cette joie. Cependant, comme nous ne sommes pas totalement naïfs nous savons que cette joie-là est petite, provisoire, temporelle et circonscrite !

Homélie. 2è Dimanche de l’Avent – année B Marc 1, 1-8. Chapelle St Vincent de Paul – Paris

Telle est la vocation du prophète Jean : peu importe la soif, la faim et la mort. Quitte à mourir et à mourir seul, Jean se prépare à accueillir Dieu qui vient et qui peut faire surgir, du désert, la vie. La fin de la solitude, l’accomplissement de la promesse et la joie de « l’ami de l’époux » sont imminentes…

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