Homélie 400e anniversaire du charisme vincentien. Mgr Georges PONTIER, Archevêque de Marseille

Saint Vincent de Paul n’a pas été seulement touché par la vue des plus pauvres. Il l’a été aussi par sa contemplation du cœur de Dieu, du cœur du Christ. Souvent, dans la révélation biblique, l’œuvre de Dieu est présentée comme une réponse à la vue de la misère humaine et au désir de la soulager. Il a vu la manière dont le Christ, durant sa vie terrestre, s’est rendu proche des malades, des étrangers, des pécheurs, des exclus. Il a admiré le cœur du Christ, le cœur de Dieu. Il s’est laissé envahir par cette compassion. Et il a été très loin. Le message de la parabole que nous venons d’entendre l’a marqué.

A Châtillon-sur-Chalaronne, la Société Goroni honore Monsieur Vincent

C’est la société historique de l’Ain (fondation d’un prêtre diocésain ayant profité d’une mise à l’écart pour approfondir sa passion pour la recherche en fondant une société d’histoire qui aujourd’hui porte son nom) qui, en collaboration avec l’Université catholique de Lyon, nous offre trois jours de colloque avec 25 intervenants, professeurs des Universités de Tours, Lyon et Saint-Etienne et Paris IV, des Universités catholique de Lyon et de Paris, ainsi que des Filles de la Charité, des pères Lazaristes, des équipières de Saint Vincent, directeur de Centre de Santé vincentiens.