Homélie du 18 octobre 2020. Affiliation de Vincent DUQUESNOY à la Congrégation de la Mission

« Qui enverrai-je ? » Éternelle question du Seigneur ! question qui traverse tous les temps et qui rejoint chacune et chacun d’entre nous dans son aujourd’hui. C’est dans notre Église, que nous sommes tous appelés, baptisés dans la mort du Christ, vivifiés par l’Esprit Saint, pour écrire une page de solidarité, d’amour et de communion fraternelle là où nous sommes et pour témoigner de l’amour de Dieu, de son désir que la vie l’emporte sur le mal et la mort !

Saint Vincent de Paul et la Messe

il convient en effet, de vous faire vibrer à la vie et à la pensée de Monsieur Vincent sur ce sujet qui lui est très cher. Regardons-le aujourd’hui célébrant la Messe ; au sens forme du terme, il édifie (élève) les participants et l’un d’eux remarque : « Mon Dieu, que voilà un prêtre qui dit bien la messe. Il faut que ce soit un saint homme de Dieu ». (Abelly L. III, 72)

L’écologie intégrale vincentienne : Réflexions pour un monde post-pandémique

Une pratique traditionnelle chez les indigènes Ngäbe dans l’ouest du Panama consiste à enterrer le cordon ombilical d’un nouveau-né avec la graine d’un arbre fort, comme le manguier. De même que l’enfant grandit, l’arbre grandit, les deux étant symboliquement liés et interconnectés dans un réseau de vie. Tout au long de la vie de cette personne, cette union signifie cette harmonie avec toute la création qui devrait définir l’expérience humaine.

Cinq lamentations en temps de crise

Dans l’Écriture, le livre des Lamentations de Jérémie, attribué au prophète et écrit vers 587 av. J.-C., exprime la souffrance du peuple qui a été causée par la destruction du Temple. Ce livre ne révèle pas seulement les sentiments religieux de cette destruction, mais révèle aussi les conséquences de cette même destruction, à savoir la solitude, la faim, les souffrances des femmes, des enfants et des personnes âgées…

La Douceur : Petite réflexion d’un confiné (3/6)

Dans un monde violent, entendre « heureux les doux, ils recevront la terre en héritage », qu’est-ce que cela veut dire ?
« Aussi longtemps que je suis resté un lâche, nous dit Gandhi, j’entretenais en moi un foyer de violence. Lorsque après un certain nombre d’années, je rejetai toute lâcheté, je pus entrevoir la valeur de la non-violence ».