Homélie. 2è Dimanche de l’Avent – année B Marc 1, 1-8. Chapelle St Vincent de Paul – Paris

Telle est la vocation du prophète Jean : peu importe la soif, la faim et la mort. Quitte à mourir et à mourir seul, Jean se prépare à accueillir Dieu qui vient et qui peut faire surgir, du désert, la vie. La fin de la solitude, l’accomplissement de la promesse et la joie de « l’ami de l’époux » sont imminentes…

La Place que ce Roi donne à l’humain

Nous voici à la fin d’un parcours où l’Evangile de Matthieu nous a aidé, pendant une année, à saisir davantage Celui que nous suivons, au cœur du quotidien. Les événements de cette année ont participé peut-être plus qu’à l’ordinaire, à ce saisissement du Christ, à sa connaissance toute intérieure qui ont teinté notre action missionnaire.

Une Église au service du monde par amour du Christ

L’une des forces des sectes ou de communautés nouvelles, est la convivialité entre les membres. L’inconvénient des grandes structures est l’anonymat ! L’un des griefs les plus souvent évoqué par ceux qui ne côtoient plus l’Église est sur ce ressenti d’accueil ou plus exactement de non-accueil. Pourtant bien des églises ont fait effort pour soigner l’accueil pour ceux et celles qui viennent à une célébration.

Dimanche 22 novembre 2020 « Christ Roi de l’Univers ». Homélie à la Chapelle Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse. Paris

Comme chaque année, au dernier dimanche du temps ordinaire, l’Eglise nous invite à célébrer le Christ Roi de l’Univers. Instituée par le Pape Pie XI, en 1925, la fête du Christ Roi, avec à cette époque une connotation plutôt socio-politique, a pris vocable, dans la mouvance du Concile Vatican II, de Fête du Christ Roi de l’Univers, soulignant ainsi la dimension eschatologique, celle de la fin des temps, de ce monde nouveau déjà présent et encore à venir.

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