Par voix interposée, le Père Jean-Pierre Renouard a évoqué la mémoire du P. Christian Labourse

L’appel d’André est surprenant, saisi avec Pierre, en pleine activité de pêcheurs. Cet arrachement au monde du travail des premiers apôtres, Pierre et André, en train de « jeter leurs filets » au point de tout laisser, père et barque, fascine et donne à penser. Le fait de s’intégrer du même coup, dans une autre condition au point de suivre le prédicateur du Lac, Jésus, à sa suite, littéralement en « cheminant derrière lui », est tout aussi surprenant.

Lettre Apostolique « LE MERVEILLEUX  SIGNE DE LA CRÈCHE ». DU SOUVERAIN PONTIFE FRANÇOIS SUR LA SIGNIFICATION ET LA VALEUR DE LA CRÈCHE

Le merveilleux signe de la crèche, si chère au peuple chrétien, suscite toujours stupeur et émerveillement. Représenter l’événement de la naissance de Jésus, équivaut à annoncer le mystère de l’Incarnation du Fils de Dieu avec simplicité et joie. La crèche, en effet, est comme un Évangile vivant, qui découle des pages de la Sainte Écriture

Des pères synodaux renouvellent le «Pacte des Catacombes». Texte : « Pacte des Catacombes pour la Maison Commune »

C’est un évènement plein de symboles: ce dimanche matin, plusieurs père synodaux de l’assemblée spéciale sur l’Amazonie ont participé à une messe célébrée dans les Catacombes de Sainte Domitille situées non loin de la Via Appia à Rome. Une messe présidée par le cardinal brésilien Claudio Hummes, rapporteur général du synode. Ils ont fait mémoire du « Pacte des Catacombes » au cours duquel 42 pères du Concile Vatican II avaient demandé à Dieu la grâce d’«être fidèle à l’esprit de Jésus» dans le service des pauvres. Ce document intitulé «Pacte pour une Église Servante et Pauvre» avait alors pour ambition de mettre les pauvres au centre du ministère pastoral.

JOURNÉE MONDIALE DES PAUVRES. HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS, Basilique vaticane XXXIIIe Dimanche du Temps ordinaire, 17 novembre 2019

Les pauvres sont précieux aux yeux de Dieu parce qu’ils ne parlent pas la langue du je : ils ne se soutiennent pas par eux-mêmes, par leurs propres forces, ils ont besoin de celui qui les prend par la main. Ils nous rappellent que l’Evangile se vit ainsi, en mendiants qui implorent Dieu.

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