Père Louis Minster, CM (Metz, 11 août 1920 – Paris, 27 septembre 2018)
Aujourd’hui, fête de Saint Vincent de Paul, nous apprenons le décès de notre confrère. Nous le confions à la Miséricorde du Seigneur
Aujourd’hui, fête de Saint Vincent de Paul, nous apprenons le décès de notre confrère. Nous le confions à la Miséricorde du Seigneur
Le Père Mavrič nous invite à approfondir notre connaissance des saints, des bienheureux et des serviteurs de Dieu de la Famille Vincentienne, en renouvelant notre relation avec eux, qui sont des modèles vivants du charisme vincentien.
Nous te confions Gaspard à la grâce du Seigneur pour que tu puisses rester fidèle à l’engagement que tu prends aujourd’hui
Qu’il est bon de retenir aussi de Paul la place qu’il donne à l’action de grâce dans ses épîtres. J’ai remarqué qu’il commence par exulter, alors que la situation dans l’Eglise de Corinthe n’est pas brillante. Il est convaincu que le présent est garant de l’avenir. Ce que Dieu a réalisé dans ses destinataires, il pourra le réaliser encore. C’est la source d’une espérance, car… « Dieu est fidèle ».
Le bicentenaire de la Maison-Mère nous offre une excellente occasion de ressaisir un héritage significatif pour l’Église en général et pour la congrégation de la Mission en particulier : celui de la mission ad gentes. Au cours de ces deux siècles, en effet, des centaines et des centaines de lazaristes ont été envoyés à travers le monde, depuis Saint-Lazare. Comme cela m’a été demandé, j’évoquerai mon apostolat dans cette continuité et signalerai par la même occasion certains des défis et écueils de la mission ad gentes aujourd’hui.