MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS 4e JOURNÉE MONDIALE DES PAUVRES. 15 novembre 2020, 33ème dimanche du Temps Ordinaire « Tends ta main au pauvre » (Si 7, 32)

Dans ce panorama, « les exclus continuent à attendre. Pour pouvoir soutenir un style de vie qui exclut les autres, ou pour pouvoir s’enthousiasmer avec cet idéal égoïste, on a développé une mondialisation de l’indifférence. Presque sans nous en apercevoir, nous devenons incapables d’éprouver de la compassion devant le cri de douleur des autres, nous ne pleurons plus devant le drame des autres, leur prêter attention ne nous intéresse pas, comme si tout nous était une responsabilité étrangère qui n’est pas de notre ressort.»

Homélie du 32e dimanche du temps ordinaire. Mt 25 1-13. « Seigneur, ne me laisse pas tomber en panne sèche ! »

Cette parabole n’est pas catholique pourrait-on dire ; elle est choquante ! Elle l’est surtout pour une personne qui a entendu depuis toujours : le chrétien doit partager, l’ami de Jésus doit partager. Pourquoi donc la parabole met en avant l’attitude de cinq filles dites prévoyantes refusant de partager leur huile avec celles qui en manquaient ? Et pourquoi encore cette parabole met en scène la dureté de l’époux qui refuse d’ouvrir la porte aux filles arrivant en retard : « Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas ».

Homélie du 18 octobre 2020. Affiliation de Vincent DUQUESNOY à la Congrégation de la Mission

« Qui enverrai-je ? » Éternelle question du Seigneur ! question qui traverse tous les temps et qui rejoint chacune et chacun d’entre nous dans son aujourd’hui. C’est dans notre Église, que nous sommes tous appelés, baptisés dans la mort du Christ, vivifiés par l’Esprit Saint, pour écrire une page de solidarité, d’amour et de communion fraternelle là où nous sommes et pour témoigner de l’amour de Dieu, de son désir que la vie l’emporte sur le mal et la mort !

Attaque de Nice : édito de Sr Véronique Margron

En temps de paix, contre un lieu de paix, de recueillement pour qui librement y entre et simplement s’assoit. Contre des femmes et des hommes de paix, simples croyants attentionnés, ne voulant que prier le Dieu de toute bonté qui hait la haine. Le Dieu dont la véritable grandeur se dévoile dans l’abaissement
des épousailles avec la condition des hommes, pour n’être élevé que sur une croix.

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