La CEVIM au service des sans-abris
En 1994 le Père Maloney, supérieur général, souhaitait voir la Congrégation de la Mission rejoindre L’ONU pour y porter la voix des pauvres. C’est en 1998 qu’elle postulera et sera reconnue.
En 1994 le Père Maloney, supérieur général, souhaitait voir la Congrégation de la Mission rejoindre L’ONU pour y porter la voix des pauvres. C’est en 1998 qu’elle postulera et sera reconnue.
Ce lundi 8 mars, la coordination de la famille vincentienne, après avoir hésité à se retrouver en présentiel au 95 de la rue de Sèvres à Paris a préféré, par sécurité sanitaire en raison de l’épidémie, se retrouver en visioconférence. De 9h30 à 11h30, chaque branche représentée a pu partager ce qu’elle vit en cette longue et douloureuse période de pandémie.
Après les événements dramatiques de l’année dernière alors que les souffrances causées par les guerres, les catastrophes naturelles et la famine ont été aggravées par la pandémie de COVID-19, notre foi nous pousse à vivre cette nouvelle année 2021 dans l’espérance, même dans les situations qui sont, humainement parlant, désespérées.
La seule présence du père Causse, en un quelconque lieu, apportait la paix. Il ne formulait aucun jugement définitif sur quiconque, lui qui savait, pour l’avoir vécu, que nous sommes tous des missionnaires les uns pour les autres.
À quelques jours de l’ouverture de l’Accueil Louise & Rosalie, situé dans les locaux de la Congrégation de la Mission dite des « Lazaristes », Coline et Laurence, bénévoles de l’accueil, sont allées à la rencontre du Père Roberto Gomez, supérieur de la communauté. Ce dernier nous parle de l’approche vincentienne de la pauvreté et donne des conseils concrets aux bénévoles pour accomplir au mieux leur mission.