REFLEXIONS SUR LA TRINITE CHEZ SAINT VINCENT DE PAUL

La proximité de la solennité de la Pentecôte nous invite à remonter à la source de notre spiritualité et de notre mission. Elle est résolument trinitaire chez st Vincent. Avec lui prenons le temps de contempler ce Mystère fondamental au-delà de nos oublis et de nos négligences. Pour lui et pour nous, la Trinité est notre modèle, l’exemplarité de notre être et de notre vie intérieure.

De la mythologie chrétienne à la foi modeste

Sur le fragile support d’un réseau social, que d’aucuns pourraient estimer exorbitant au regard de ma condition, mais dont je suis persuadé au contraire qu’il peut se révéler d’une extraordinaire fécondité calmement subversive, j’ai tenté, durant ces temps d’exception, une aventure qui éprouve désormais le besoin d’un sage répit, mais qui ne va pas moins se poursuivre et qui aperçoit déjà l’ampleur de ses conséquences.

Cinq lamentations en temps de crise

Dans l’Écriture, le livre des Lamentations de Jérémie, attribué au prophète et écrit vers 587 av. J.-C., exprime la souffrance du peuple qui a été causée par la destruction du Temple. Ce livre ne révèle pas seulement les sentiments religieux de cette destruction, mais révèle aussi les conséquences de cette même destruction, à savoir la solitude, la faim, les souffrances des femmes, des enfants et des personnes âgées…

Libres propos sur le pèlerinage des Saintes-Maries. 18 – 25 mai aux Saintes Maries de la Mer

Une route parfois longue attend les Voyageurs et les équipes d’aumônerie, qui les ramènera vers leurs familles, leurs communautés. L’Esprit qui les a rassemblés les invite à se disperser pour vivre de la formidable nouvelle proclamée sur la terre de Camargue par les Saintes Maries et Sainte Sara : « Alleluia, Christ est ressuscité ! »

De la fabrique du sacré à la révolution eucharistique – Quelques propos sur le retour à la messe.

C’est décidément chose étrange comme la messe, dans l’histoire religieuse de notre pays, a pu faire l’enjeu de débats et le fait encore, même depuis que l’immense majorité de nos concitoyens a cessé de s’y rendre, au point que l’on peut se demander, parfois, si toute cette chamaillerie épisodique n’entre point parmi les indicateurs de notre identité française.