Le charisme de Vincent de Paul
En 1617, Vincent de Paul décide de se consacrer aux plus pauvres. Aujourd’hui la famille vincentienne compte 165 institutions à travers le monde
En 1617, Vincent de Paul décide de se consacrer aux plus pauvres. Aujourd’hui la famille vincentienne compte 165 institutions à travers le monde
Alors que nous nous préparons à célébrer la solennité de saint Vincent de Paul en cette année du jubilé du 400ème anniversaire du charisme vincentien, continuons à nous engager, à nous réengager ou commençons à nous engager à mettre en œuvre la culture des vocations à la vie consacrée dans tous nos lieux de service. Nous comptons sur nos propres capacités mais, toujours avec un engagement total et un feu intérieur, de sorte que notre amour pour le service pastoral de la promotion de nouvelles vocations puisse être toujours « affectif et effectif ».
Depuis les débuts, le ministère de missionnaire lazariste du père Yves Bouchet, a été marqué par la musique et la chanson, l’animation de Veillées, de rassemblements etc.
Auteur, compositeur, son répertoire s’est enrichi au fil du temps à travers les expériences, les rencontres, la vie des Mouvements, de l’Eglise et du monde ainsi que de la famille spirituelle à laquelle il appartient. Le thème de ses chansons, pour certaines écrites en collaboration, est celui de la vie avec ses joies et ses larmes , ses attentes et ses espérances et la force de la foi en Dieu et en l’homme. Fils spirituel de Saint Vincent de Paul il a cœur aussi d’ honorer des visages de cette grande famille et de son charisme.
Être intendant des mystères de Dieu, apporter au nom de Dieu la paix, la joie que Jésus seul peut offrir au monde, que demander de plus sinon lui rendre grâce pour le fait que, tout indigne et faible que je suis, Il m’ait quand même appelé à son service ! Merci de prier pour moi.
En ce 400ème anniversaire de la fondation du charisme vincentien, le Père Pedro Opeka, un des fils spirituel de Monsieur Vincent, missionnaire à Madagascar, et fondateur de l’Association humanitaire « Akamasoa » nous livre, son expérience auprès des pauvres d’Antanarivo qui vivaient sur la décharge publique.