Lettre aux confrères pour le temps de carême
Nous voici donc entrés dans ce temps du Carême et la lettre du P. Général, le Père Tomaz MAVRIC est un bon apport pour alimenter notre marche spirituelle, avec cette
invitation renforcée
Nous voici donc entrés dans ce temps du Carême et la lettre du P. Général, le Père Tomaz MAVRIC est un bon apport pour alimenter notre marche spirituelle, avec cette
invitation renforcée
Dans la première lettre que je vous ai adressée en tant que Supérieur Général, en la fête de notre fondateur le 27 Septembre, j’ai commencé à réfléchir sur nos principales sources d’inspirations en plus de la sainte Bible : nos Règles Communes et nos Constitutions. La lettre de l’Avent en était un prolongement. Dans la lettre de Carême de cette année, j’aimerais continuer dans la même ligne, en réfléchissant sur les Règles Communes et les Constitutions. En fait, les Règles Communes et les Constitutions seront la base et la source de toutes les réflexions des lettres des temps forts liturgiques de l’Avent et du Carême, aussi bien que de la lettre pour la fête de notre Fondateur, durant les six prochaines années qui nous conduiront à notre Assemblée Générale de 2022.
Accueillir l’étranger n’est pas seulement un thème du 400è anniversaire de la Vocation Vincentienne (1617-2017). C’est la valeur centrale de pratiquement toutes les religions. L’appel à “accueillir l’étranger” par la protection et l’hospitalité et d’honorer les étrangers ou ceux de foi différentes dans le respect et l’égalité, est profondément ancré dans toutes les principales religions. La Famille Vincentienne repose sur ce socle commun.
C’est un mot que nous allons entendre très (trop ?) souvent durant l’année jubilaire. Contrairement à ce que vous pourrez lire ou entendre, ce n’est ni un mot vieux (ou trop vieux) ni un mot neuf (jamais utilisé). Il existe depuis toujours et l’Ancien Testament en fait volontiers un usage ; le mot est cité 57 fois et 45 fois dans le Nouveau Testament.
C’est avec une grande joie et reconnaissance pour chacun d’entre vous, mes chers confrères, vous qui servez « nos seigneurs et maîtres », dans le monde entier, que je vous adresse cette lettre, la première comme Supérieur Général. Je voudrais exprimer ma profonde gratitude et mon admiration pour vous tous, vivant et servant comme témoins de l’amour de Jésus, même dans les coins les plus éloignés du globe ! Nous sommes tous des serviteurs et il est beau de savoir que nous n’y sommes jamais seuls. Ce sont Jésus, notre Mère Marie, Saint Vincent de Paul, Sainte Louise de Marillac et tous les Bienheureux et Saints de la Famille vincentienne qui nous accompagnent dans ce parcours.