Lettre du Supérieur Général : A tous les membres de la Congrégation de la Mission – A toutes les Filles de la Charité – A tous les membres de la Famille vincentienne


Lettre du Supérieur Général

A tous les membres de la Congrégation de la Mission

A toutes les Filles de la Charité

A tous les membres de la Famille vincentienne

Chers Confrères, Soeurs et membres de la Famille Vincentienne,

La grâce et la paix de Jésus soient toujours avec nous !

Il a récemment été porté à notre attention que les informations concernant le calendrier liturgique vincentien actualisé ne vous ont été jamais été communiquées. Apparemment, la lettre à traduire s’est égarée entre deux bureaux de la Curie généralice de la Congrégation de la Mission. Nous regrettons ce retard à vous faire parvenir cette information, que vous auriez dû recevoir au mois d’avril dernier

  • Par conséquent, je vous envoie maintenant le calendrier liturgique vincentien actualisé. Le calendrier liturgique vincentien est approuvé pour la Congrégation de la Mission et les Filles de la Charité. Il n’est pas réservé à la Famille vincentienne.
  • Le changement de date, du 15 mars au 9 mai, pour célébrer la solennité de sainte Louise de Marillac vous a été communiqué l’an dernier.
  • Un autre changement de date concerne la célébration de la mémoire de saint François-Régis Clet. Elle est passée du 18 février au 9 juillet. La raison de ce changement est de joindre ce mémorial à celui des autres martyrs de la même catégorie dans le calendrier universel. Etant donné qu’il s’agit du calendrier propre, nous avons le privilège de mentionner d’abord le nom de saint François-Régis Clet, suivi de celui d’Augustini Zhao Rong et ses compagnons.
  • Au 28 juillet, vous trouverez le nom d’un saint qui n’est pas vincentien. En fait, dans le calendrier universel la mémoire de saint Pierre Chrysologue tombe le 30 juillet. Or, afin de pouvoir maintenir la date du 30 juillet pour saint Justin de Jacobis, nous avons dû insérer le nom de saint Pierre Chrysologue à une autre date dans notre calendrier. Cela se produit uniquement lorsque nous avons une mémoire qui coïncide avec celle d’un autre saint dans le calendrier universel.
  • Vous remarquerez que certaines mémoires sont devenues des mémoires facultatives dans le calendrier actuel. Cependant, ce sont des mémoires obligatoires pour le pays d’origine du bienheureux ou du saint. Cela ne signifie pas que d’autres ne doivent pas célébrer ces mémoires.
  • Il nous a été suggéré d’enlever la fête de la Conversion de saint Paul (le 25 janvier) de notre calendrier propre, car il s’agit d’une fête universelle. Cependant, il a été accordé qu’elle reste dans notre calendrier car nous avons déjà des prières approuvées pour cette fête de la Congrégation.
  • Lorsque les noms des martyrs ne sont pas mentionnés dans le calendrier vincentien officiellement approuvé (par exemple le 26 juin), nous avons la liberté de mentionner tous les noms qui se trouvent dans l’ordo.

Je vous remercie de votre attention à ces changements. Que Dieu bénisse chacun de nous alors que nous continuons de célébrer l’année jubilaire marquant la naissance de notre charisme.

Votre frère en saint Vincent.

Rome, 8 mars 2017

Tomaž Mavrič, CM – Supérieur Général🔸

Tout au long de l’année l’Église nous invite à célébrer les saints en proclamant le mystère pascal du Christ qu’ils ont vécu dans tout leur être. La liturgie souligne l’importance de la relation qui nous unit à eux dans leur diversité et leur unité. Elle nous les propose en exemples et fait appel à leur intercession.

CFC – Liturgie

De la Conversation à la Conversion… et vice-versa


De la Conversation à la Conversion… et vice-versa

La prière en carême

Mais comment « converser » avec Jésus ? Lui-même nous offre la méthode : il faut nous retirer pour nous recueillir dans le silence et ainsi « peu à peu », percevoir que le Ressuscité est avec nous dans le plus profond de notre existence.

J’entends souvent parler d’un manque de prière ou des difficultés pour prier. Je tiens à vous dire que je vis au quotidien la même difficulté. Et nous avons la possibilité de trouver diverses « moyens » pour vivre ce « temps » précieux et nécessaire à notre vie spirituelle et notre vie de chrétiens. Je crois que notre difficulté se trouve dans l’impossibilité d’aller à la rencontre personnelle avec Jésus, de prendre le chemin de la conversion pour arriver à la conversation… les deux vont de pair. Il est important le désir de transformer ta vie pour te mettre sur le chemin de Jésus, pour le suivre avec fidélité et vérité.

Mais comment « converser » avec Jésus ? Lui-même nous offre la méthode : il faut nous retirer pour nous recueillir dans le silence et ainsi « peu à peu », percevoir que le Ressuscité est avec nous dans le plus profond de notre existence. Il nous faut du temps et de l’abandon pour vivre l’expérience de Paul : « Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Christ qui vit en moi ». (Galates 2,20). Il est important de nous trouver dans l’intimité de toi-même, sans bouger, même chez toi ! Ton meilleur ami vient à ta rencontre pour t’aider à vivre ton quotidien, pour te manifester qu’Il est proche, pour t’écouter dans le secret de ton histoire… sans jamais te juger…

Mais, comment faire ? Il nous faut d’abord aller à la rencontre des textes bibliques, de la Parole de Dieu ; elle, sous la forme d’écriture nous transmet, l’expérience de Dieu et nous pouvons « écouter en lisant » : « homme de peu de foi, pour quoi doutes-tu ? » ou « Courage, c’est moi. N’ayez pas peur » ou « Tes péchés te sont pardonnés. Va, et ne pèche plus » ou « Que veux-tu que je fasse pour toi ? ». Ces phrases contenues dans les évangiles nous parlent d’une expérience profonde de rencontre avec Jésus. Beaucoup d’hommes et des femmes ont vécu la même expérience jusqu’aujourd’hui. Cette recherche parfois ‘fatigante’ trouve sa plus belle et simple expression dans la prière, dans ce dialogue fraternel entre toi et ton Seigneur, rien de plus beau et simple… certes, mais pour beaucoup d’entre nous celle-ci est difficile parce que la première exigence de la prière est l’abandon ! et l’abandon peut nous faire peur, il implique forcement de laisser l’Autre conduire, mener la conversation pour qu’Il soit la source de notre conversion. Entrer en conversation pour se convertir à Celui qui est toujours là dans le silence ou les conflits de notre histoire, Celui dont la seule présence est fondamentalement Amour !

Alexis Cerquera Trujillo CM🔸

Il est important le désir de transformer ta vie pour te mettre sur le chemin de Jésus, pour le suivre avec fidélité et vérité

Jeunes Voyageurs à Lisieux


Jeunes Voyageurs à Lisieux

L’an dernier l’équipe s’occupant des jeunes au sein de l’aumônerie des Voyageurs, avait proposé une rencontre à Taizé en Bourgogne, nous étions tout juste une douzaine. L’été dernier c’est aussi une petite douzaine de jeunes qui a participé aux JMJ à Cracovie. Petits groupes et belles expériences, alors nous avons décidé de continuer l’aventure. Sur la proposition d’une Voyageuse, nous avons mis le cap sur Lisieux pour aller à la suite de sainte Thérèse de l’enfant Jésus et de la Sainte face !

Habituellement les pèlerinages se font en famille et tout le monde vient avec sa caravane. Cette fois-ci le but était de permettre à des jeunes de se retrouver qu’entre eux, sans les caravanes, dans un logement collectif. Chose rapidement faite en allant au « Foyer Louis et Zélie Martin ». Cette maison du pèlerin est tenue par les sœurs Servantes de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Les quatre sœurs à notre service viennent de quatre pays différents et rayonnent la joie de vivre dans la simplicité du service. Bel exemple de la vie de Thérèse.

A peine lancées, les inscriptions sont arrivées très vite et bien plus que ce que nous avions prévu coté budget. Nous avons failli annuler par manque de finances mais heureusement la solidarité a bien fonctionné. L’appel à un soutien financier a été entendu et les dons sont arrivés permettant la réalisation totale du séjour. En final, nous avons été une bonne quarantaine à participer, plus quelques-uns de la région qui nous ont rejoint pour tel ou tel moment.

Le rendez vous était prévu pour 5h en fin d’après-midi du vendredi mais à 3 heures pratiquement tout le monde était déjà arrivé !! Signe qu’il y avait de la motivation pour vivre ce temps fort spirituel ensemble. Les jeunes sont vraiment venus des quatre coins de France. Angoulême, le Limousin, Lyon, le Centre, Lure, la région parisienne, la Normandie plus les rachails (prêtres) qui sont sur le Nord !

Le programme était bien organisé afin que nous puissions découvrir les différents lieux importants de la vie de Thérèse. Le thème de notre pèlerinage était « la mission ». Eh oui nous pouvions difficilement faire autrement lorsque nous nous laissons mener par la patronne des missions !

Chaque jour nous avons donc pu découvrir un lieu spécifique où Thérèse vécue, telle la maison familiale des Buisonniers où elle a vécue de 4 à 15 ans, entourée d’une très grande affection par son père et ses sœurs (la mère étant décédée alors que Thérèse avait 4 ans). C’est à quinze ans qu’elle entre au couvent du Carmel après avoir été demandé l’autorisation au pape à Rome ! L’église paroissiale où elle a fait sa première communion qui l’a tant marquée d’être uni à son Sauveur, Jésus le Christ. Et bien sur la superbe basilique construite dans le premier tiers du XX° siècle. Chaque jour nous avions aussi un enseignement pour approfondir notre « être missionnaire » propre à tout baptisé. Venir se purifier via le sacrement du pardon, se nourrir au corps même de notre Dieu dans l’eucharistie, et se laisser renouveler par l’Esprit pour être des missionnaires zélés.

Nous avons pu toucher un peu du doigt, via la vie de souffrance qu’a eu notre « petite sainte » l’importance de savoir se jeter dans l’amour infini de Dieu qui nous accueille sans cesse les bras grands ouverts. Ceci est l’un des points très importants de la spiritualité Thérésienne, car à l’époque on parlait beaucoup plus d’un dieu juge, qui condamnait facilement. Heureusement que la méditation de l’évangile nous a éloigné d’une telle conception de Dieu.

Thérèse avait une relation très intimiste avec son « roi divin », chacune des communions à la sainte hostie était pour elle l’occasion d’une union très intense lui permettant de passer toute épreuve.

Elle qui a vécu que 9 ans au Carmel (morte à 24 ans de la tuberculose), enfermée dans un lieu très précis a été déclarée  « patronne des missions » en 1927 par le pape Pie XI. Si elle a ce titre, ce n’est pas dû au fait qu’elle aurait parcouru le monde mais bien à cause de son désir très fort de propager la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ. Sa prière était ardente. Elle a aussi entretenue une correspondance avec plusieurs missionnaires les stimulants et les guidant dans leur manière de vivre leurs missions d’évangélisateurs.

Chacun des lieux ou des temps de prière ont été vécus avec intensité par nos jeunes pèlerins. Ils se sont stimulés les uns les autres pour plus de dévotions et une meilleure compréhension de leur vocation missionnaire là où ils vivent. Car la mission ce n’est pas tant partir dans les quatre coins du monde, mais bien de mener sa vie en harmonie avec l’évangile. Cela débute au sein même de la famille puis sur les terrains où est parfois difficilement vécu la rencontre avec les évangéliques ou des gadgés (sédentaires). A la suite de Thérèse, on comprend bien que ce n’est pas tant d’aller claironner que c’est nous qui avons la vérité (sous-entendant, que les autres ont tort) mais bien d’aller à la rencontre. Poser des actes d’attentions, de délicatesses, poussés par une vie vertueuse (honnêteté, respect, charité etc.) C’est par nos actes que nous évangélisons. Appuyés par une prière régulière et intense, nous sommes invités à vivre l’espérance de voir chacun (quel que soit ses convictions religieuses) faire un pas vers l’autre pour vivre d’avantage l’unité tant désiré par Dieu.

Notre dernière soirée a été l’occasion d’une relecture, d’un bilan de ces 4 jours passés au pays de Thérèse. Tout comme le Christ invite ses disciples à dire ce qu’ils ont vécu dans leur mission en se mettant un peu à l’écart, chacun a pu dire ce qu’il avait vécu. Et là franchement ça a été un grand bouquet de fleurs de toutes les belles choses vécues. Seule petite difficulté : le fait de vivre en communauté avec les règles communes (heures des repas fixes, fermeture de la maison à 22heures etc). C’est ainsi que l’on s’aperçoit que rentrer dans la culture des autres (là des sédentaires) ce n’est pas si évident que cela. Arriver à apprécier une nourriture différente (et pourtant très bonne au palais des rachails !!) demande une maitrise de soi. La rencontre de l’autre passe aussi par ces petites choses quotidiennes.

Combien il a été bon d’entendre plusieurs de ces jeunes dire qu’ils s’étaient éloignés de l’église dans le doute de la foi, et enfin repartir avec ferveur sur leur chemin de foi. Ce temps vécu entre jeunes, découvrir la vie de la petite Thérèse a été un vrai témoignage de vie. Même si au départ certains se demandaient ce qu’ils venaient faire là, Ils savent maintenant pourquoi ils étaient venus : reprendre une vie ardente en Eglise et confier à nouveau leur vie à Dieu. Qu’il est bon d’avoir la foi !

Qu’il a été beau, pour nous les rachails, au cœur du sacrement de la pénitence et du  pardon d’être témoins du chemin de vérité qu’ont fait la plupart de ces jeunes. Avec quelle authenticité, ils ont osé poser un regard exigeant sur leur vie, confiant dans l’amour infini de Dieu qui les accueille tel qu’ils sont, comme enfants bien-aimés du Père. Oui la vérité nous rendra libre nous dit Jésus et c’est ainsi que nous continuons notre chemin de pèlerinage sur cette Terre.

Vincent Gogey CM🔸

Ils savent maintenant pourquoi ils étaient venus : reprendre une vie ardente en Eglise et confier à nouveau leur vie à Dieu. Qu’il est bon d’avoir la foi !

Vincent Gogey

Les jeunes, la foi et le discernement des vocations


Les jeunes, la foi et le discernement des vocations

DOCUMENT PRÉPARATOIRE

« Je vous dis cela pour que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète » (Jn 15, 11) : tel est le projet de Dieu pour les hommes et les femmes de tout temps et donc aussi pour tous les jeunes hommes et les jeunes femmes du IIIème millénaire, sans exception.

Annoncer la joie de l’Évangile, c’est la mission que le Seigneur a confiée à son Église. Le Synode sur la nouvelle évangélisation et l’Exhortation apostolique Evangelii gaudium ont abordé la façon d’accomplir cette mission dans le monde d’aujourd’hui. En revanche, les deux Synodes sur la famille et l’Exhortation apostolique post-synodale Amoris laetitia ont été consacrés à l’accompagnement des familles à la rencontre de cette joie.

En continuité avec ce cheminement, à travers un nouveau parcours synodal sur le thème : « Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel », l’Église a décidé de s’interroger sur la façon d’accompagner les jeunes à reconnaître et à accueillir l’appel à l’amour et à la vie en plénitude. Elle souhaite également demander aux jeunes eux-mêmes de l’aider à définir les modalités les plus efficaces aujourd’hui pour annoncer la Bonne Nouvelle. À travers les jeunes, l’Église pourra percevoir la voix du Seigneur qui résonne encore aujourd’hui. Comme jadis Samuel (cf. 1 S 3,1-21) et Jérémie (cf. Jr 1, 4-10), certains jeunes savent découvrir les signes de notre temps qu’indique l’Esprit. En écoutant leurs aspirations, nous pouvons entrevoir le monde de demain qui vient à notre rencontre et les voies que l’Église est appelée à parcourir.

La vocation à l’amour revêt pour chacun une forme concrète dans la vie quotidienne à travers une série de choix, qui allient état de vie (mariage, ministère ordonné, vie consacrée, etc.), profession, modalité d’engagement social et politique, style de vie, gestion du temps et de l’argent, etc. Assumés ou subis, conscients ou inconscients, il s’agit de choix auxquels personne ne peut échapper. L’objectif du discernement des vocations consiste à découvrir comment les transformer, à la lumière de la foi, en autant de pas vers la plénitude de la joie à laquelle nous sommes tous appelés.

L’Église est consciente de posséder « ce qui fait la force et le charme des jeunes : la faculté de se réjouir de ce qui commence, de se donner sans retour, de se renouveler et de repartir pour les nouvelles conquêtes » (Message du Concile Vatican II aux jeunes, 8 décembre 1965) ; les richesses de sa tradition spirituelle offrent de nombreux instruments permettant d’accompagner la maturation de la conscience et d’une liberté authentique.

Dans cette perspective, ce Document Préparatoire entend lancer la phase de consultation de l’ensemble du Peuple de Dieu. Adressé aux Synodes des Évêques et aux Conseils des Hiérarques des Églises orientales catholiques, aux Conférences épiscopales, aux Dicastères de la Curie romaine et à l’Union des Supérieurs Généraux, il s’achève par un questionnaire. En outre, une consultation de tous les jeunes est prévue par le biais d’un site internet, comprenant un questionnaire sur leurs attentes et sur leur vie. Les réponses apportées à ces deux questionnaires serviront de base pour la rédaction du Document de travail appelé Instrumentum laboris, qui sera le point de référence pour les débats des Pères synodaux.

Ce Document Préparatoire propose une réflexion structurée en trois étapes. Il commence par définir sommairement certaines dynamiques sociales et culturelles du monde dans lequel les jeunes grandissent et prennent leurs décisions, pour en proposer une lecture de foi. Puis il parcourt les passages fondamentaux du processus de discernement, qui est l’instrument principal que l’Église peut offrir aux jeunes pour qu’ils découvrent leur vocation à la lumière de la foi. Enfin il aborde les points fondamentaux d’une pastorale des vocations des jeunes. Il ne s’agit donc pas d’un document achevé, mais d’une sorte de proposition qui entend favoriser une recherche dont les fruits ne seront disponibles qu’au terme du parcours synodal.

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Annoncer la joie de l’Évangile, c’est la mission que le Seigneur a confiée à son Église.

Invitation à vivre comme SVDP


Invitation à découvrir et vivre

comme saint Vincent-de-Paul

Saint Vincent de Paul (1581-1660) s’est laissé appeler à poursuivre la Mission du Christ, et depuis, d’autres hommes s’engagent comme lui.

Vous avez entre 18 et 35 ans, et vous aimeriez en connaitre davantage ? Nous vous invitons à nous rencontrer, selon vos possibilités. Nous organisons trois week-ends de prières, d’échanges et d’approfondissements.

Du vendredi soir 18h30 au dimanche 14h00 :

  • 4 au 6 novembre 2016
  • 13 au 15 janvier 2017
  • 31 mars au 2 avril 2017