Le père Jean-Marc BASCUÑANA cm est rentré à la maison du Seigneur. Avis de décès

« Que la terre s’ouvre, produise le salut, et qu’alors germe aussi la justice ! » Isaïe 45, 8

Le père Jean-Marc BASCUÑANA cm est rentré à la maison du Seigneur. Avis de décès

Chers confrères, nous apprenons le décès ce matin de notre confrère, P. Jean-Marc BASCUÑANA, à la Maison de MARSEILLE à l’âge de 89 ans. À quelques jours de Noël, il a vécu sa Pâque, paisiblement.

Il est né 30 septembre 1931 à Barcelone en Espagne, fils de Jean et de Maria VILAHUR.

Après des études à Barcelone, il est arrivé le 16 septembre 1950 à Paris, où il a continué ses études. Il a été reçu dans la Congrégation de la Mission le 21 septembre 1950. Il a prononcé les vœux le 7 novembre 1952 à Paris. Il a été ordonné diacre le 6 octobre 1957 à Paris puis prêtre le 29 juin 1958 à Paris, par Mgr DEFEBVRE, évêque de Ning-Po.

En 1960 : Toursainte.

En 1962, il a été nommé à Port Saint-Louis.

En 1966, il a été nommé à Marseille, à Toursainte, nommé supérieur de cette communauté en juillet 1972, engagé dans la pastorale auprès des personnes handicapées (catéchèse spécialisée).

De 1988 à septembre 1993, il est curé de Remoulins puis de Calvisson. De 1995 à 2016, à Nîmes.

Le 10 août 2016, retour à la Maison d’Austerlitz à Marseille.

Le 30 octobre 2018, vu son état de santé, il est placé à l’EHPAD Résidence Notre-Dame où il est décédé.

La célébration de ses funérailles aura lieu le lundi 21 décembre 2020 à 14h30 en l’église Saint-Jean-Baptiste, à Marseille, suivie de l’inhumation dans le caveau des Missionnaires où reposent les confrères, à Saint-Pierre.

Prions ensemble afin que le Christ, évangélisateur des Pauvres, l’accueille, prions pour sa famille, ses amis et pour tous ceux et toutes celles qui l’ont accompagné.

Bien fraternellement,

Christian MAUVAIS cm

Le père Aimé GOLIET cm, est rentré à la maison du Seigneur le 7 octobre 2020

« Son amour envers nous s’est montré le plus fort ; éternelle est la fidélité du Seigneur ! » Ps 116 (117), 2

Le père Aimé GOLIET cm, est rentré à la maison du Seigneur le 7 octobre 2020

Chers confrères, nous apprenons le décès ce matin de notre confrère, P. Aimé GOLIET, à la Maison de VICHY, à l’âge de 82 ans tout juste révolus.

Il est né le 3 Octobre 1938 à TARNOS dans le département des Landes, diocèse d’Aire et Dax.

Fils de Gabriel GOLIET et d’Hélène DUCLA, entré dans la Congrégation le 26 Septembre 1957 à Dax, il a prononcé les vœux le 27 Septembre 1959 à Paris en présence du P. HOUFLAIN.

Il est ordonné prêtre le 1er Avril 1967 à Dax par Mgr BEZAC, évêque d’Aire et Dax.

Il est envoyé en mission à Madagascar en 1968 dans le diocèse de Farafangana. En 1972, il est placé à Manakara, sur la côte est de Madagascar. En 1975, il est placé à Tangainony. En 1979, il est placé à Farafangana.

Il revient en France en 1998 et est placé dans la Maison de Vichy où il a accompli avec grand dévouement le service de l’accueil, toujours passionné de Madagascar.

La célébration de ses funérailles aura lieu le Lundi 12 Octobre 2020 à 14 h 30 en l’église Sainte-Jeanne-d’Arc, 2 rue Jeanne-d’Arc, 03200 VICHY, suivie de l’inhumation dans le caveau des Missionnaires où reposent les confrères.

Prions ensemble afin que le Christ, évangélisateur des Pauvres, l’accueille, prions pour sa famille, ses amis malgaches et pour tous ceux et toutes celles qui l’ont accompagné.

Christian MAUVAIS cm

 

NOTE : Nous vous demandons de nous excuser. Un problème technique sur notre site a fait disparaître cet avis de décès. Nous en sommes désolé.

Le père Roger Meyer, cm est rentré à la Maison du Seigneur. Avis de décès

« Le Seigneur a fait pour moi des merveilles, Saint est son Nom ! » Luc 1, 49

Le père Roger Meyer, cm est rentré à la Maison du Seigneur. Avis de décès

Paris, ce mardi 22 Décembre 2020

Chers confrères,

Nous apprenons le décès ce matin de notre confrère, P. Roger MEYER, à l’hôpital Cochin à Paris à l’âge de 97 ans. À quelques jours de Noël, lui aussi a vécu sa Pâque, le jour où l’Église proclame le Magnificat de Marie.

Il est né le 20 février 1923 à ABRESCHVILLER (diocèse de Metz) en Meurthe-et-Moselle, fils d’Alphonse et de Laure ALIX.

Après des études à Cuvry et au Berceau, il a été reçu dans la Congrégation de la Mission le 21 octobre 1942  au GRAU-DU-ROI. Il a prononcé les vœux le  27 septembre 1947 à Paris. Il a été ordonné diacre le    30 novembre 1951 à Dax puis prêtre le 8 mars 1952 à Dax par Mgr Mathieu.

En 1952, il part à Rome pour des études. En 1955, il est nommé à Verdun.

En 1960, il est nommé à Cuvry où il restera jusqu’en 1976, année où il rejoint la paroisse de SS. Simon- Jude à Metz.

En 1979, il va vivre à Woipy, en banlieue de Metz. En 1987, il rejoint SS. Simon-Jude à Metz où il restera jusqu’à sa venue à Paris, en 1995 à la Maison-Mère, avec une insertion pastorale à la Chapelle de la Médaille Miraculeuse.

En 2017, il entre à l’EHPAD « Antoine Portail » au 88 rue Cherche-Midi. Vendredi 18 décembre, il est

entré à l’hôpital Cochin où il s’est endormi dans la Paix de Dieu.

La célébration de ses funérailles aura lieu le lundi 28 décembre 2020 à 14 h 30 en la Chapelle Saint- Vincent-de-Paul de la Maison-Mère. Elle sera suivie de l’inhumation dans le caveau de la Congrégation au cimetière de Montparnasse.

Prions ensemble afin que le Christ, Évangélisateur des pauvres, le reçoive à sa table. Prions pour les membres de sa famille, ses amis et pour tous ceux et toutes celles qui l’ont connu et qui ont bénéficié de sa présence.

Christian MAUVAIS cm

 

MOT D’ACCUEIL LORS DE LA CÉLÉBRATION DES OBSÈQUES

Chers confrères, chers amis

Cette après-midi, c’est P. Roger qui nous rassemble dans cette Chapelle St Vincent de Paul, membres de sa famille, confrères, amis de toute une vie, les résidents et le personnel de l’EHPAD Antoine Portail ;

Nous voilà conviés à un temps de silence et de recueillement sous le regard de Dieu, notre Père. La prière nous permet de ne faire qu’un, unis dans la même espérance, partageant la foi au Ressuscité.

Roger s’est éteint à la fin de la nuit, au terme de ce temps de l’Avent, qui est celui de l’attente, où nous nous préparions à accueillir Celui qui est la source de la vie, de l’Amour. Il était certainement prêt à accueillir son Seigneur, à s’en remettre en toute confiance à Lui, après l’avoir reconnu sous les traits des personnes qu’il a accompagné, formé, enseigné. La joie de Noël est venue pour lui. Avec les Anges, il chante la Gloire de Dieu.

Roger, était un frère, un ami, un ancien, un confrère. Tous, nous avions un lien de proximité avec lui, un bout d’histoire vécu ensemble, quelque chose en commun pour laquelle nous voulons dire merci ou demander pardon.

Merci pour ce qu’il était comme homme, comme croyant, comme missionnaire ; nous avons été marqués et bénéficiaires de son sourire, d’ouverture, de son attention, de sa présence dynamique ;

C’est un missionnaire qui a répondu à l’appel du Christ en choisissant Vincent de Paul comme modèle de pasteur, d’évangélisateur. Il s’est mis à son école. Il s’est mis à l’école des petits, des pauvres avec qui il a dialogué.

La mission, il l’a reçue de son Seigneur, il l’a nourrie de l’Eucharistie, de ses rencontres, il l’a éclairé des Écritures, de l’Oraison, de ses lectures.

C’est une belle histoire d’amour qui nous est offerte et qui, loin de se terminer, se continue dans le cœur de Dieu où elle prend toute sa dimension, celle d’éternité.

Oui, cet après-midi, nous avons de nombreuses raisons de rendre grâce au Seigneur, de nous réjouir de ce vécu apostolique, communautaire, partout où Roger est passé ; à chacun, dans le fond de son cœur, de recueillir et d’offrir son action de grâce ou sa demande de pardon.

Sachant que tous, nous avons besoin d’être renouvelés dans la Miséricorde du Père pour entrer dans cette Eucharistie.

 

Homélie.

Le cercueil où repose Roger se trouve aux pieds de cet autel, là où nous est représenté la crèche où repose un nouveau-né. Deux naissances qui sont sources de joie. En Jésus, Dieu s’habille de notre humanité pour nous revêtir de sa divinité et nous faire partager pleinement sa vie. Voilà ce que nous célébrons ce soir.

Dieu a pris corps aussi à travers la vie de Roger, à travers les rencontres qu’il a eues, à travers ses divers engagements. Dans tous ces aspects de formation, de dialogue, d’accueil, d’écoute, d’accompagnement, le Royaume s’est fait proche, il est arrivé jusqu’à nous. La mission de Roger a permis au Corps du Christ de se développer, de grandir.

Roger était missionnaire. il l’a été toute sa vie, en Lorraine dont il est originaire.  D’abord comme formateur.

Formateur du clergé au Grand séminaire de Verdun dès le début de son ministère, puis en 1969, auprès des jeunes au Foyer du 2ème cycle à Montigny les Metz dont il était responsable, en prenant une place dans la pastorale des Vocations sur le plan diocésain et provincial ; formateur, il le fut comme pédagogue, en accompagnant au Foyer St Joseph, des jeunes filles appelées ‘cas sociaux’ ; il le fut encore comme Directeur  des Étudiants de second cycle au Grand Séminaire de Metz en 1974. Nous sommes 3 à avoir bénéficié de sa présence. Formateur encore à travers la catéchèse, les camps d’été, les camps vincentiens, sa présence à Cuvry. Les jeunes étaient sa passion et auprès d’eux il s’est donné sans compter, toujours disponible. Un autre lieu où il s’est investi corps et âme, c’est auprès des Filles de la Charité, par les visites trimestrielles, par les nombreuses retraites prêchées jusqu’en Algérie ou par des temps de formation sur Ste Louise par exemple. En 1986, il est nommé pour accompagner avec d’autres confrères, la formation des Postulants Frères au niveau interprovincial.  Ce ne sont que quelques flashes mais qui disent la richesse et la dynamique de Roger, la joie qui était la sienne.

Il était missionnaire. Comme un  pasteur des périphéries.

En 1971, il est nommé dans une commission pour coordonner les mouvements du laïcat vincentien (JMV, Équipes SV et SSVP) ; en 1975, il deviendra aumônier national des JMV.

Dans les années 1975, il découvre d’autres réalités humaines dans les quartiers populaires de Woippy-St Eloy où il anime des soirées d’alphabétisation, où il part à la rencontre des familles pauvres de ces quartiers. Il a fait la découverte à l’œil et par expérience du ‘Quart Monde’ ;  c’est un lieu où il ‘s’est mis à l’école des jeunes comme il l’écrivit ; c’est dans ces lieux périphériques qu’il a découvert la réalité de la migration et où il a porté une  attention particulière aux milieux magrébins et turcs. Ce qu’il n’a cessé de faire jusqu’au bout. Dans cette rencontre avec le monde musulman, il fut attentif au dialogue inter religieux et là aussi il a accompagné nombre d’eux dans une découverte de Jésus.

En 1987, il est nommé vicaire à la paroisse St Simon, St Jude puis curé avant de rejoindre Paris.

‘35 années de travail dans un diocèse, ça compte. Ici j’ai trouvé tant de personnes engagées au service des pauvres, des immigrés, non seulement en paroles mais avec leur cœur et leurs bras’. Ce fut une souffrance de quitter son diocèse d’origine, ces liens du cœur, mais, confrère obéissant à ce qui lui était demandé, il montra sa disponibilité.

C’est en 1995, qu’il est placé à Paris à la Maison Mère avec une pastorale à la rue du Bac ce qui lui donne de vivre beaucoup de rencontres aussi diverses et riches les unes que les autres.

Roger fut très attaché à la Congrégation. Il fut un beau témoin de la tendresse et de l’amour de Dieu pour tous les hommes, d’où qu’ils viennent, quelles que soient leurs croyances. C’était un homme qui partageait beaucoup ce qui faisait sa vie, ses joies, ses questions comme en témoigne le courrier à ses responsables.

un évêque a écrit : ‘Roger a un vrai charisme pour s’occuper des jeunes en situation de précarité et c’est un bon accompagnateur spirituel mais il n’a pas toutes les qualités…’ ; Il est en cela bien identique à chacun de nous, avec ses travers communautaires entre autre. Il savait s’émerveiller. Son regard pétillant !

Roger est un homme qui a trouvé le dynamisme dans les Écritures, ses lectures et l’Eucharistie. Là où il est passé, il a tenté d’apporter la Paix, celle qui nous vient de Dieu et qui nous engage dans le quotidien au nom de l’Amour. Que son témoignage nous invite à continuer, là où nous sommes et avec ce que nous sommes, la mission que nous avons reçue, avec la même énergie. Amen !

 

Avis de décès de notre confrère le Père Jean LOUVARIS de la Communauté de Thessalonique

Le secours me viendra du Seigneur qui a fait le ciel et la terre. Le Seigneur, ton gardien, ton ombrage, se tient près de toi. Il te gardera de tout mal, il gardera ta vie ; il te gardera au départ et au retour, maintenant, à jamais. Ps 120

Avis de décès de notre confrère le Père Jean LOUVARIS de la Communauté de Thessalonique

C’est avec peine et tristesse que je vous annonce le décès de notre confrère le Père Jean LOUVARIS de la Communauté de Thessalonique. Il s’est endormi dans la Paix du Seigneur cette nuit, dans le centre médical qu’il avait rejoint après un séjour à l’hôpital. Il est le dernier de nos confrères grecs.

Le P. Jean LOUVARIS est né le 4 juin 1938 à SYRA, ile des Cyclades, en GRÈCE. Il est le fils de Isidore LOUVARIS et de Marie FRERIS. Il lui reste un frère.

Après avoir fait ses études primaires à FANEOMENI et secondaires à Thessalonique, il est au Berceau de St Vincent de Paul en 1953 pour continuer ses études. Il est entré dans la Congrégation le 2 octobre 1959 ; il fait ses études de philosophie à Dax de 1960 à 1962 puis continue les études théologiques à Paris de 1962 à 1966.

IL a prononcé les vœux définitifs le 1er novembre 1964 à PARIS.

Il est ordonné diacre  le 30 juin 1965 à Paris par Mgr. BROT ; il reçoit l’ordination sacerdotale le 3 juillet 1966 à THESSALONIQUE des mains de Mgr PRINDEZIS, archevêque d’Athènes.

Il est placé à Thessalonique en 1966.

Jean fut un artisan important au niveau de l’œcuménisme avec nos Frères Orthodoxes. Il les a fréquentés, il a participé très régulièrement à des rencontres où il prenait la parole, et a écrit de nombreux articles. Il a traduit en grec des ouvrages vincentiens. Il a longtemps sillonné la Grèce du Nord pour aller à la rencontre des familles catholiques dispersées.

La célébration des funérailles du Père Jean LOUVARIS aura lieu ce mardi 9 juin à 12h en la cathédrale de l’Immaculée Conception à THESSALONIQUE tenue par les confrères à THESSALONIQUE ; elle sera suivie de l’inhumation au Cimetière où reposent nos confrères.

Ce même jour, j’invite tous les confrères de la Province à s’unir dans une même célébration de l’Eucharistie, pour le repos dans la Paix et la Joie du Ressuscité de ce confrère. Nous y associerons les membres de sa famille, et prierons ce jour-là pour la communauté de Thessalonique, endeuillée par la perte de l’un des leurs, leur ainé.

Comme toujours, c’est une occasion de demeurer unis dans ce départ et fraternels dans nos liens.

Ce 8 juin 2020.

Christian MAUVAIS CM – Visiteur, Province de France

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Le père Benoît Ndzana CM a rejoint la maison du Père. Avis de décès

« Moi, je suis la Porte, dit Jésus. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Moi, je suis le bon pasteur qui donne sa vie pour ses brebis. Je connais mes brebis et elles me connaissent, comme le Père me connaît et que je connais le Père… » (Jn 10, 9-14)

Le père Benoît Ndzana CM a rejoint la maison du Père. Avis de décès

A tous les confrères de la Province,

C’est avec peine et tristesse que je vous annonce le décès de notre confrère BENOIT NDZANA MENOUNGA à l’hôpital Cochin où il avait été admis il y a une dizaine de jours. Il a rejoint la maison du Père, hier au soir à 20h30, jour où l’Eglise nous offre le visage de Jésus, comme Bon Pasteur qui prend soin de ses brebis.

Benoît est né le 12 décembre 1956 à NKOLMEYANG au CAMEROUN. Il est le fils de Victorin MENOUNGA TSANGA et d’Engelberte ZOBO. Il a deux frères et deux sœurs.

Dans les années 1981-1985, il a fait ses études de philosophie et de théologie au grand séminaire de MAROUA, à l’école théologique st Cyprien.

Le 27 septembre 1985 il entre dans la Congrégation à PARIS ; il fait son séminaire Interne à PARIS avec le P. Daniel LAMERAND comme Directeur.

Il prononce ses vœux le 5 mars 1988 à NSIMALEN et devient ainsi le 1er confrère camerounais.

Il est ordonné diacre le 13 mars 1988 à OKOLA par Mgr Jérôme MIMBOÉ.

Il reçoit l’ordination sacerdotale le 6 août 1988 à NSIMALEN des mains de Mgr Jean Z0A.

Il fait un court séjour à la Vice-Province du Zaïre, puis est nommé à la paroisse de NSIMALEN d’abord comme Vicaire puis comme Curé en 1995.

En 1991, il a eu la joie de participer à l’Assemblée de la Province de Paris pour y représenter la Région du Cameroun, soulignant ainsi l’importance de la mission sur le continent africain. En 1994, il fait des études supérieures en pastorale catéchétique à l’Institut Catholique de Paris. En 1999, il est inscrit à l’ISPC à Paris et en 2001, il suit des cours à la Faculté de Théologie Catholique à Strasbourg.

En 2002, il entre au Centre médicalisé à PARIS pour s’y reposer car au cours d’un séjour au Cameroun, sa santé est fortement ébranlée. De retour en France, il est soigné et accepte en 2015 d’être le célébrant habituel à la Résidence Antoine Portail.

La célébration des funérailles du Père Benoit NDZANA aura lieu ce mercredi 6 mai à 14h30 à la chapelle St Vincent ; elle sera suivie de l’inhumation au Cimetière de Montparnasse.

Ce même jour, j’invite tous les confrères de la Province à s’unir dans une même célébration de l’Eucharistie, pour le repos de ce missionnaire, dans la Paix et la Joie du Ressuscité. Nous y associerons tous les membres de sa famille, et nous prierons ce jour-là pour la Province du Cameroun, elle aussi endeuillée.

Comme toujours, c’est une occasion de demeurer unis dans ce départ et fraternels dans nos liens.

P. Christian MAUVAIS CM – Visiteur

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