Faire confiance. Méditation
Aujourd’hui, on entend à peine parler de «la providence de Dieu». C’est un langage qui est tombé en désuétude ou qui est devenu une manière pieuse de considérer certains événements.
Aujourd’hui, on entend à peine parler de «la providence de Dieu». C’est un langage qui est tombé en désuétude ou qui est devenu une manière pieuse de considérer certains événements.
Ils ne parlent pas beaucoup. Ils ne se font pas remarquer. Leur présence est modeste et discrète, mais ils sont le «sel de la terre». Tant qu’il y aura dans le monde des femmes et des hommes attentifs à l’Esprit de Dieu, il sera possible d’espérer encore. Ils sont le plus beau cadeau pour une Église menacée par la médiocrité spirituelle.
L’image est simple et d’une grande force expressive. Jésus est la «vraie vigne», pleine de vie; les disciples sont des «sarments» qui vivent de la sève qui leur vient de Jésus; le Père est le «vigneron» qui prend personnellement soin de la vigne pour qu’elle porte des fruits abondants.
Ce n’est pas une simple phrase de plus. Des mots qui pourraient être éliminés de l’évangile sans que rien d’important ne change. C’est l’affirmation qui exprime le noyau essentiel de la foi chrétienne. «Dieu a tellement aimé le monde qu’il lui a donné son fils unique». Cet amour de Dieu est l’origine et le fondement de notre espérance.
Ce qui est le plus décisif pour être vraiment chrétien, ce n’est pas tellement ce que l’on croit mais la relation que l’on vit avec Jésus. Les croyances, en général, ne changent pas notre vie.