Relecture au temps d’un confinement
Lorsque le 17 mars commence le premier confinement, c’est tout d’abord le souvenir de mon expérience missionnaire en Bolivie qui m’a permis de penser à m’organiser. Nous ne recevions plus hebdomadairement les personnes sans-abris au repas, seule l’équipe a continuée à se retrouver. Les célébrations étant interdites à cause du cluster produit en milieu de culte évangélique, le confrère en paroisse se retrouvait sans activités.