Homélie du troisième dimanche de l’Avent 2020. Chapelle Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse – Paris

On entend dire partout : « on a sauvé Noël », « on a réussi à sauver Noël ». Les commerces sont accessibles, on peut acheter des cadeaux, les commerçants peuvent respirer un coup… Nous partageons tous cette joie. Cependant, comme nous ne sommes pas totalement naïfs nous savons que cette joie-là est petite, provisoire, temporelle et circonscrite !

« Cher pape François… », par la rabbin Delphine Horvilleur. Article publié le Publié le 02 décembre 2020, dans le journal L’Obs

Quel meilleur moment que celui que nous vivons pour nous en convaincre ? Jamais nous ne nous étions sentis plus vulnérables. Et qui mieux qu’un pape, que l’on imagine, comme Salomon, bien installé dans un palais, dans une tradition et un dogme immuable, pour nous le rappeler ? Il est un temps pour chaque chose sous le soleil, et le nôtre est à reconnaître le changement.

Rome, le 20 novembre 2020. Lettre de l’Avent – 2020 « Le visage de Jésus : le visage de Dieu et de toute l’humanité »

L’année 2020, marquée par tant de souffrance, d’angoisse et de peur et le pronostic d’une énorme augmentation de la pauvreté dans le monde, notamment à cause de la COVID- 19, touche à sa fin. L’horizon de la nouvelle année 2021 s’ouvre devant nous.

Lettre Apostolique  » Patris Corde  » du Saint-Père François à l’ocassion du 150e anniversaire de la déclaration de St Joseph comme patron de l’Église Universelle

Il eut le courage d’assumer la paternité légale de Jésus à qui il donna le nom révélé par l’ange : « Tu lui donneras le nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Mt 1, 21). Comme on le sait, donner un nom à une personne ou à une chose signifiait, chez les peuples antiques, en obtenir l’appartenance, comme l’avait fait Adam dans le récit de la Genèse (cf. 2, 19-20).

Homélie. 2è Dimanche de l’Avent – année B Marc 1, 1-8. Chapelle St Vincent de Paul – Paris

Telle est la vocation du prophète Jean : peu importe la soif, la faim et la mort. Quitte à mourir et à mourir seul, Jean se prépare à accueillir Dieu qui vient et qui peut faire surgir, du désert, la vie. La fin de la solitude, l’accomplissement de la promesse et la joie de « l’ami de l’époux » sont imminentes…

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